MARIE ELISE & FRIENDS: Got my feet on the ground (2012)


La musique peut parfois véhiculer des histoires sympas et le Rock est sûrement l'une des expressions musicales qui peut souvent le confirmer ...C'est un peu ce que je ressens et qui me vient en tête en découvrant l'album de Marie Elise & Friends. Une belle histoire d'amitié entre la rockeuse des Vosges et le groupe Natchez, avec une extension aux amis de Plug'n Play, Fred Chapellier, etc... (je ne les cite pas tous mais ils se reconnaîtront !) a permis la réalisation de ce petit plaisir !... Un projet qui a commencé à prendre forme en septembre 2010 et qui voit le jour aujourd'hui pour le plus grand plaisir de son instigatrice !… Pour ceux qui n'ont jamais eu le plaisir d'échanger quelques mots avec Marie Elise lors des divers concerts et rassemblements auxquels elle est devenue assidue, on retiendra principalement une passion depuis quelques années pour le Rock aux accents "Southern", une passion qui l'a même parachutée à plusieurs reprises sur la "Simple Man Cruise" (la croisière de Lynyrd Skynyrd aux USA), le must en la matière pour ce style musical !
Alors cet album ? Hormis le titre du CD, "Got My Feet On The Ground", un titre écrit par Manu Aeschbach en collaboration avec Richie Randrianasolo (Plug’n Play) et qui ouvre les hostilités (une atmosphère musicale pour le moins très natchezienne !), le contenu de cet album est principalement axé sur des reprises qui passionnent et inspirent Marie Elise, et c'est toujours assez sympa de replonger dans nos jeunesses respectives au travers des standards comme "Back in the USA" ou "That 'll Be the Day", ou de manière plus spécifique avec ''It's So Easy" et "Tashauna" (le magnifique titre du Rossington Collins Band) ou même encore avec d'autres "girls of rock" comme Alannah Myles et Suzie Quatro et les morceaux "Still Got This Thing" et "Devil Gate Drive" !
Alors voilà, les lecteurs qui me connaissent un peu savent bien l'amitié qui me lie à l'ensemble des personnes citées précédemment, et c'est la raison primordiale pour laquelle je ne m'autorise pas à juger le travail en détail de mes amis (es), ce genre d'exercice n'étant jamais chose aisée psychologiquement ! Ceci dit, je me permets surtout de féliciter l'ensemble des acteurs, et plus particulièrement bien sûr Marie Elise, pour l'aboutissement de ce projet... « I have a dream » (disait quelqu'un !).
John Molet